Tout ce que vous ne saviez pas vouloir savoir sur Paris, son histoire et ses fun facts insolites ont été compilés par Vincent Periat dans son Atlas inutile de Paris. Cent cartes incongrues des rues depuis lesquelles on peut apercevoir la tour Eiffel, des îles disparues qu’on trouvait sur la Seine, des emplacements des vacheries en 1895… De quoi retomber en amour avec la capitale.

Et si ce truc greffé à votre main vous servait enfin à faire quelque chose de créatif, comme quand, petit, vous mettiez les doigts dans la palette de peinture ? L’artiste Rosy Lamb et le collectif Hérétique ont lancé Cocolor, une app mobile gratuite qui transforme le processus de création des couleurs en une expérience sensorielle, ludique et intuitive. Mieux que Candy Crush.

Ce thermostat qui tombe à 3 degrés, ça vous arrangerait presque. Tout ça parce que vous avez flashé sur le bob en fausse fourrure, fait main et en France, de Van Palma, le spécialiste marseillais du couvre-chef. Dispo en trois couleurs, c’est l’indispensable accessoire de votre hiver.

Coup de mou créatif ? Ouvrez la méthode de l’artiste serbe Marina Abramovic et découvrez 30 cartes-conseils qui vous permettront d’atteindre un état de conscience supérieur et de vous confronter aux challenges de l’existence. Une méthode suivie par l’artiste herself pour réactiver sa puissance créative.

Hommage à l’une des fondues de mode les plus iconiques du début du XXIe siècle, Colourful rassemble les inspirations, les influences et les anecdotes de vie de feu Iris Apfel. Une balade ultra-colorée à travers 102 ans de style incomparable, de créativité et d’audace. 

Kesako un œuf Mejnoun ? Une capsule temporelle à offrir ou garder pour se surprendre soi-même. On y glisse un message ou un objet, on programme la date et l’heure à laquelle l’œuf doit s’ouvrir tout seul de façon MAGIQUE et on laisse le temps faire son travail. 

Rangées les lunettes de soleil ? Ne vous fourrez pas le doigt dans l’œil, on sait que vous avez prévu des vacances de Noël au Maroc. Pour protéger vos yeux en envoyant du style, shoppez votre paire de solaires (créée en quantité limitée par des artisans français) sur le site d’Aude Herouard qui décline des formes doucement vintage pour habiller tous les regards. 

Fôme, c’est la bonne idée qu’a eu Marine, ancienne de la cosmétique haut-de-gamme, pour concilier luxe et écoresponsabilité. Son shop se décline en soins lavants pour les mains très hydratants pour se sentir aussi beau que bien. Avec son flacon rechargeable et ses ingrédients sourcés, c’est la nature qui vous dit merci.

Prenez une décoratrice et illustratrice (Zoé de las Cases par exemple) et un chef ultra créatif (Cyril Attrazic a tout hasard) et faites-les parler de leur région, l’Aubrac. Ça donne un livre aussi beau que passionnant, une balade poétique et gourmande dans ce coin d’Occitanie.

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Vous vous rappelez quand il a plu 20 mm en une journée et que vous avez bousillé votre paire de baskets ? Ça c’était avant que vous ne fassiez la connaissance de Lemon Jelly et de ses incroyables bottines de pluie transparentes, avec semelle colorée svp. De quoi parader avec vos plus belles chaussettes sans les mouiller.

On sait comment se passent les fêtes de fin d’année, alors pensez à faire le plein d’eau. Easy peasy avec les belles carafes designées par Jens Quistgaard en 1956 et rééditées par Dansk aujourd’hui avec toujours autant de style. Sept couleurs pour sublimer l’émail brillant et une anse tressée d’osier pour parfaire l’élégance.

Ce petit coup de frais ne vous donne qu’une envie : vous lover dans votre canapé avec une bonne série (la saison 2 de The Diplomat par exemple, bingeable en une aprèm), enroulé dans un plaid, mais pas n’importe lequel. Le coloré, en 100% laine up-cyclée et tissé main par des artisans indiens formés aux façons traditionnelles du shop Stories.

Pas besoin de sortir le maillot, Molitor : Vibrations Artistiques #2 célèbre en 164 pages l’art contemporain urbain au sein de ses emblématiques cabines artistiques. Le nouvel opus réunit des œuvres de 70 artistes et collectifs internationaux, de l’Afrique aux Amériques, en passant par l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie, qui se sont approprié les cabines du bassin intérieur, lieu d’expression des graffeurs parisiens dans les années 1990, pour en faire des créations uniques.