Oden, une énième marque de cosmétique française ? Oui, mais pas n’importe laquelle. Leur credo ? Des soins botaniques créés à partir de plantes cultivées en France, chez des petits producteurs, naturels et sans conservateurs. Et une gamme d’huiles hyper gourmandes qui répond aux besoins de tous les types de peaux. Le froid peut arriver, vous êtes prêt.

Oubliez Nike, Adidas, Reebok, here comes Mercer, la marque de sneakers qui monte qui monte, basée à Amsterdam et fondée par le designer néerlandais Pim Dresen. On crush sur le modèle W3RD en “cuir” de pomme ou de raisin, les baskets vegan en cuir d’ananas, les Re-Run, les Brooklyn, mais aussi les varsity jackets un brin tape-à-l’œil. Bref, on claque pas mal d’argent sur l’e-shop de Mercer.

Revendre, donner et recycler ses habits sans vous prendre la tête, c’est la bonne idée de Mökki qui s’occupe de tout à votre place. Vous arrivez au 17 boulevard Morland avec votre sac d’affaires que vous ne mettez plus depuis 5 ans, et ils se débrouillent pour leur donner une seconde vie et vous reversez les sous de pièces vendues. Vous devrez quand même faire le tri dans vos placards vous-même, faut pas exagérer.

Quand vous vous levez le matin, vous sentez bien qu’il manque un truc, là, juste sous votre pied. Il manque un petit tapis Charlen Studio pour accueillir dans son moelleux votre peton à peine réveillé. Le studio parisien injecte de la forme organique et ondulée et de la couleur acidulée dans votre intérieur. Juste de quoi bien commencer la journée.

Vous sentez ce petit air frais qui caresse votre crâne ? On ne vous apprend rien, comme tous les ans, winter’s coming, et il va falloir vous mettre quelque chose sur la tête, une des casquettes des frères norvégiens Alex et Seb par exemple. Des vrais obsédés qui ont lancé leur marque Varsity il y a 10 ans et qui ne se sont toujours pas lassés. Encore faudra-t-il choisir entre celles en laine, en lin, en alpaga, ou même celle en cachemire. Courage.

La bonne idée du Vinyle Club ? Vous envoyer 2 vinyles par mois, un incontournable et une nouveauté. Ça ne vous permet pas seulement de vous la raconter fort avec votre platine et votre collection de 45 tours, ça vous donne aussi l’occasion d’écouter de l’excellente musique, de découvrir des artistes et de réapprendre à envisager un album comme une œuvre complète. 

Quitte à perdre votre temps sur Instagram, autant que ce soit pour regarder des jolies choses, comme les dessins de Sarah Esteje. Pen artist (ça veut dire qu’elle travaille ses dessins au stylo bille, mais attention, d’un autre level que vos gribouillages quand vous êtes au téléphone), la dessinatrice française crée des images qui oscillent entre photo et peinture. Hypnotisant.

Qui aurait cru qu’il faudrait 30 ans pour que la série Chew Stoke du grand Martin Parr sorte enfin en monographie ? 1992 : le photographe britannique s’immerge pendant un an dans les activités d’un village rural du Somerset, dans la banlieue de Bristol. Il en tire cette série de portraits forcément très colorés qui racontent un autre siècle.

Environ 10 millions de films à voir et vous, là, avec votre plateau repas qui va refroidir, complètement perdu, et cette angoisse qui monte doucement. Pas de panique : 2 minutes sur le site Movie of the Night, quelques critères de sélection, et vous voilà avec une poignée de propositions qui matchent votre mood et votre niveau d’exigence (oui, vous avez le droit d’avoir envie de voir une daube). De quoi découvrir aussi de jolies pépites.

Vous rêvez de palmiers, de planches de surf, de bord de mer ? N’attendez pas que l’été revienne, accrochez plutôt sur vos murs les photos sélectionnées chez une dizaine d’artistes différents et imprimées dans la qualité galerie d’art. Des œuvres qui sentent si bon le sable chaud qu’elles vous feront oublier d’allumer le chauffage.